Parlons chiffons mesdames. Aujourd’hui, il s’agit de robe de mariée.
Alors moi le côté meringue gna gna des robes de mariée, non merci, pas du tout mon truc. Je refuse de porter un amas de polyester sur moi.
Pour mon mariage je souhaite une robe tutu, une robe courte quoi. C’est difficile d’en trouver à vrai dire mais de toute manière je n’avais pas l’intention d’aller en acheter une toute faite, que nenni.
Je me suis adressée à une collègue qui fait des robes de mariée à ses heures perdues. Verdict pour une robe courte sans dentelle ni chichi : 900€. Aïe, je souffre physiquement. Moi qui suis quand même une modéliste, ça me met sur le cul, je décline.
Après avoir fait quelques recherches vaines, j’ai changé d’optique.
Pour l’anecdote, je suis allée au Printemps un soir et j’ai vu qu’il y avait un rayon ‘robes de mariée’. Super, j’y cours. Sauf que, ce qu’ils appellent rayon est en fait un coin hyper secret où toutes les robes sont sous housse et on ne peut s’en approcher sans une vendeuse. Il y avait 3 couples mère-fille qui attendaient déjà, elles m’ont toutes foudroyé du regard pour me signifier qu’elles étaient là d’abord. Hum hum, mal à l’aise ? OUI. Scrutée par les sacs Prada et les escarpins Louboutin de ces dames, j’ai pris mes jambes à mon cou et je suis allée respirer l’air frais du boulevard Haussmann. Pas à ma place au Printemps semble-t-il …
BREF, tout ça pour dire que, budget restreint oblige, j’ai décidé de me faire ma robe. Ouais c’est pas top mais bon, je ne le mettrai qu’une seule fois.
Je me suis donc rendue chez Junku et j’ai rapporté un beau livre adapté :
J’ai repéré un modèle que je vais arranger à ma sauce :
La suite au prochain épisode …